Alors que se prépare l’élection présidentielle en Russie, non seulement les candidats perçus comme ayant un potentiel sont écartés ou emprisonnés, mais on tue un Navalny, incarcéré dans un goulag de l’Arctique, comme s’il représentait encore une menace à l’ordre établi. À quoi bon faire disparaître définitivement un opposant bien connu à l’étranger. Sinon la peur, une peur sournoise qui semble dominer le sommet de l’appareil russe, et qui engendre des arrestations, des disparitions, et cette guerre en Ukraine, dévoreuse de vies humaines à l’infini. Une peur qui engendre la tyrannie.

Alexeï Navalny est mort ce 16 février 2024.

Avocat intrépide de ce à quoi il croyait, charismatique sachant rassembler des foules, il s’est battu contre la corruption, pour la liberté d’expression, pour un état de droit, pour la participation citoyenne. Il a été tué pour sa vision d’un futur meilleur pour ses concitoyens, d’une Russie en paix et en amitié avec ses voisins, l’Europe et le monde. Ses idées survivront à sa mort. Merci, Alexeï, pour ce que vous avez été et ce que vous continuez d’être, modèle pour tous ceux qui auront le courage de prendre la relève.

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Une encyclique sociale

La publication avait été annoncée en 2007, à l’occasion du 40ème anniversaire de Populorum progressio de Paul VI (1967). Une nouvelle lignée de textes sociaux se trouve établie, puisque déjà Jean-Paul II avait salué le 20ème anniversaire avec Sollicitudo rei socialis (1987). La préparation du document a été longue et complexe, notamment en raison de la crise actuelle.
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Foot, foot, foot, hurrah !

Mondial. Euro. Nous voici donc à l’heure du foot. Les clameurs des stades vont envahir nos pays. Que nous le voulions… ou pas. Je laisse les « footeux » se réjouir devant leur télé et me permets d’appeler les autres à la réflexion.
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Une autre Guadeloupe est possible !

Les responsables de nos trois diocèses catholiques de Guyane, Martinique et Guadeloupe, à l’occasion de leur rencontre annuelle les 17, 18 et 19 Janvier à l’évêché de Basse- Terre, regardant les réalités de nos peuples reconnaissent que « nous ressentons la crise actuelle qui touche l’univers entier.