Alors que la société occidentale s’attache à défendre, voire promouvoir « le droit des femmes », nos sœurs afghanes, après un temps de répit durant la présence internationale, luttent aujourd’hui pour le simple droit d’être femme. À la suite de l’interdiction d’étudier, d’occuper un grand nombre d’emplois, l’obligation de cacher totalement leur corps et leur visage, aujourd’hui leur voix est interdite. Parce que la voix est le dernier refuge de l’identité, le chant de l’âme, un chant dont le timbre et la mélodie peuvent séduire, la voix est bannie.

Pourquoi ? Parce que la seule façon de contenir la concupiscence des hommes est de supprimer l’origine du vice, la femme !

Toute protestation occidentale conforte les talibans et ne fait que leur rappeler leur victoire sur l’Occident. Et, de l’Occident, les contestations sont faibles. Depuis le retour des Talibans au pouvoir, les frontières sont fermées et l’immigration contrôlée. La culture du pavot qui faisait de l’Afghanistan un des plus gros pourvoyeurs d’héroïne est strictement prohibée et dans cette région du monde, à feu et à sang depuis 20 ans, les armes se sont tues.

L’Occident trouve donc aussi son intérêt dans la main de fer imposée par les Talibans. Alors, qu’importe la voix des femmes !

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Intervention de l’UJFP auprès de J&P France

Il est nécessaire de faire la vérité sur la situation aujourd’hui en Israël et Palestine, de soutenir dans la mesure des possibilités le peuple palestinien et les Juifs israéliens anticolonialistes, d’exercer des sanctions efficaces contre Israël et de protéger le peuple palestinien.
Dièse

Éthique sociale en Église n° 54 mars 2023

1 – Des signaux alarmants Dans notre pays, l’augmentation de la demande d’aide alimentaire : + 30% en 2022. La dépendance pour se nourrir atteint…
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Justice & Paix Europe – Rencontre février 2023

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