Une bombe à retardement.

En 2011, un tsunami de 14 m de haut détruisait la centrale nucléaire de Fukushima, libérant des matières radioactives dans l’atmosphère sur près de 80 kms à la ronde. Dix ans après, la désolation est toujours là. Traverser la zone se fait avec des détecteurs de radiation dont les aiguilles s’affolent, soulignant l’urgence de quitter les lieux. L’explosion a définitivement détruit la vie.

Les victimes de Three Mile Island, Tchernobyl, Fukushima, etc. rejoignent les victimes des essais nucléaires du Pacifique et du Sahara dont les survivants réclament indemnisation des conséquences des radiations qui les ont définitivement abîmés.

Alors que le dérèglement climatique oblige à repenser la génération d’électricité pour qu’elle ne produise plus de gaz à effet de serre, certains pensent que l’énergie propre provenant du nucléaire devient encore plus incontournable et qu’elle est la voie à privilégier pour l’avenir.

L’incertitude qui pèse sur les risques encourus malgré tous les moyens techniques disponibles conduit à penser qu’il faut au contraire développer des énergies alternatives de manière à éviter la bombe à retardement que représente le nucléaire. Les évêques du Japon nous y invitent fortement.

Michel Roy, Justice et Paix France

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